Naturopathie-Animaliere Module 6 part 3

By imanuelross | Updated: Aug. 30, 2024, 7:01 p.m.

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Si les énergies sont déséquilibrées ou en cas de traumatisme passé, les fascias perdent leur souplesse naturelle et leur capacité de glissement. Pour visualiser ce mouvement de glissement, placez une main à plat sur votre avant-bras sans appuyer en profondeur, et déplacez doucement la peau sur les muscles. C’est comme si la peau flottait sur les tissus plus profonds.
Si les énergies sont déséquilibrées ou en cas de traumatisme passé, les fascias perdent leur souplesse naturelle et leur capacité de glissement. Pour visualiser ce mouvement de glissement, placez une main à plat sur votre avant-bras sans appuyer en profondeur, et déplacez doucement la peau sur les muscles. C’est comme si la peau flottait sur les tissus plus profonds.
Les thérapeutes manuels considèrent les fascias comme le reflet des traumatismes anciens (physiques ou émotionnels). Par exemple, après la chirurgie d’une patte, vous constatez des mouvements faibles sur la zone opérée, voire quasi inexistants après la cicatrisation. Vous ne parvenez pas à reproduire le mouvement de glissement sur votre avant-bras.
C’est comme si la peau et les tissus sous-jacents étaient collés les uns aux autres. Une technique est donc nécessaire pour détendre les fascias et obtenir ainsi plus de liberté de mouvement, de flexibilité. De surcroît, elle est particulièrement efficace pour traiter les traumatismes anciens et ancrés.
Le mouvement à réaliser est simple : placez votre paume de main à plat, détendue, sur la zone où un glissement difficile a été ressenti. La pression doit être faible, à peine équivalente au poids de la main. Une fois en place, sans changer la pression, mettez simplement de la tension dans votre main, en étirant légèrement vos doigts.
Ce mouvement met en tension les fascias sous votre main. Sans relâcher, concentrez-vous sur ce que vous ressentez à travers votre main ; suivez les mouvements des tissus (si vous ne les sentez pas dans un premier temps, restez simplement concentré dans cette position). Maintenez cette tension des fascias et suivez leurs mouvements jusqu’à ressentir une sensation de chaleur et de souplesse sous votre main ; c’est le signe que les tissus se libèrent. Relâchez progressivement la tension de vos doigts, puis la pression de votre main.
Ce mouvement met en tension les fascias sous votre main. Sans relâcher, concentrez-vous sur ce que vous ressentez à travers votre main ; suivez les mouvements des tissus (si vous ne les sentez pas dans un premier temps, restez simplement concentré dans cette position). Maintenez cette tension des fascias et suivez leurs mouvements jusqu’à ressentir une sensation de chaleur et de souplesse sous votre main ; c’est le signe que les tissus se libèrent. Relâchez progressivement la tension de vos doigts, puis la pression de votre main.
Pour vous familiariser avec cette technique, commencez par la pratiquer sur vous-même. Tractez la peau de votre avant-bras avec une faible pression vers le coude, puis vers l’extérieur, vers le poignet, vers l’intérieur. Essayez de déterminer si un mouvement est plus limité qu’un autre. Pratiquez ensuite la technique de détente des fascias. À la fin de celle-ci, testez à nouveau les mouvements pour constater ou non un changement. Plus vous pratiquerez, plus vous aurez de ressentis, et plus vous serez efficace.
Pour vous familiariser avec cette technique, commencez par la pratiquer sur vous-même. Tractez la peau de votre avant-bras avec une faible pression vers le coude, puis vers l’extérieur, vers le poignet, vers l’intérieur. Essayez de déterminer si un mouvement est plus limité qu’un autre. Pratiquez ensuite la technique de détente des fascias. À la fin de celle-ci, testez à nouveau les mouvements pour constater ou non un changement. Plus vous pratiquerez, plus vous aurez de ressentis, et plus vous serez efficace.
Technique de rééquilibrage des énergies par le travail cranio-sacré
Le travail cranio-sacré sert à rééquilibrer les énergies ; il aide l’organisme à se réguler et se soigner lui-même. Cette technique agit principalement sur le système nerveux central.
Le système cranio-sacré de l’animal est l’ensemble des membranes (les méninges) et des fluides entourant le cerveau et le cordon spinal (le long de la colonne). Ce système s’étend donc de la boîte crânienne jusqu’au sacrum (l’extrémité finale de la colonne vertébrale).
L’objectif de cette technique est d’aider les fluides à circuler librement au sein de ce système. Cette circulation part de l’intérieur du cerveau et se propage le long de la colonne jusqu’au sacrum, avant de faire le chemin inverse. Cette fluctuation du liquide céphalorachidien est constante, à raison d’un cycle toutes les dix secondes (cinq secondes d’expansion et de propagation des liquides, puis cinq secondes pour le drainage retour).
L’objectif de cette technique est d’aider les fluides à circuler librement au sein de ce système. Cette circulation part de l’intérieur du cerveau et se propage le long de la colonne jusqu’au sacrum, avant de faire le chemin inverse. Cette fluctuation du liquide céphalorachidien est constante, à raison d’un cycle toutes les dix secondes (cinq secondes d’expansion et de propagation des liquides, puis cinq secondes pour le drainage retour).
Cette technique demande plus de pratique et de ressenti, mais les résultats sont très intéressants. Chez un animal malade, âgé, fatigué, stressé, déséquilibré, ce rythme normal est souvent perturbé. Il peut être très lent, peu intense ou très rapide, ce qui reflète un déséquilibre dans les fluctuations d’énergie de l’animal. Un organisme ne peut pas être équilibré et fonctionner de manière optimale si cette fluctuation liquidienne est anormale. L’animal ne peut pas lutter efficacement contre la maladie ou prévenir les maladies futures.
Cette technique demande plus de pratique et de ressenti, mais les résultats sont très intéressants. Chez un animal malade, âgé, fatigué, stressé, déséquilibré, ce rythme normal est souvent perturbé. Il peut être très lent, peu intense ou très rapide, ce qui reflète un déséquilibre dans les fluctuations d’énergie de l’animal. Un organisme ne peut pas être équilibré et fonctionner de manière optimale si cette fluctuation liquidienne est anormale. L’animal ne peut pas lutter efficacement contre la maladie ou prévenir les maladies futures.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Commencez par vous asseoir à côté de l’animal, placez une main au niveau de sa tête et l’autre main sur son sacrum. N’appuyez pas, gardez vos mains détendues et soyez à l’écoute de ce que vous ressentez dans vos mains. L’animal peut être debout, allongé ou assis.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Quand vous êtes bien installé, imaginez, puis ressentez la circulation des fluides partant de votre main (placée sur la tête) vers l’autre main (placée sur le sacrum). Vous devez sentir les os du crâne « gonfler » sous votre main. La circulation se répand le long de la colonne jusqu’à votre deuxième main ; la même sensation de gonflement doit être ressentie, comme si la zone bougeait très légèrement à cet endroit.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Quand vous êtes bien installé, imaginez, puis ressentez la circulation des fluides partant de votre main (placée sur la tête) vers l’autre main (placée sur le sacrum). Vous devez sentir les os du crâne « gonfler » sous votre main. La circulation se répand le long de la colonne jusqu’à votre deuxième main ; la même sensation de gonflement doit être ressentie, comme si la zone bougeait très légèrement à cet endroit.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Cette phase d’expansion dure entre cinq et six secondes. Puis, le mouvement s’inverse, et vous ressentez progressivement le gonflement s’échapper durant cinq à six secondes (c’est la phase de drainage du liquide).
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Même si vous ne ressentez pas totalement cette fluctuation, visualisez-la du mieux possible. C’est un peu comme si l’on ouvrait un robinet d’eau dans la boîte crânienne. L’eau remplit progressivement le cerveau et se propage le long de la colonne jusqu’au sacrum. Une fois plein, ce système se vide, comme si le robinet aspirait l’eau déversée dans le système.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Même si vous ne ressentez pas totalement cette fluctuation, visualisez-la du mieux possible. C’est un peu comme si l’on ouvrait un robinet d’eau dans la boîte crânienne. L’eau remplit progressivement le cerveau et se propage le long de la colonne jusqu’au sacrum. Une fois plein, ce système se vide, comme si le robinet aspirait l’eau déversée dans le système.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Si le rythme ressenti vous semble trop rapide (ou à l’inverse très faible et ralenti), vous devrez le rééquilibrer. Pour cela, accompagnez le mouvement en écartant très légèrement vos deux mains. Comptez cinq à six secondes, puis resserrez légèrement vos deux mains pour revenir à la position initiale. Le mouvement doit être fin et subtil pour garder le contact avec les tissus de l’animal.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Si le rythme ressenti vous semble trop rapide (ou à l’inverse très faible et ralenti), vous devrez le rééquilibrer. Pour cela, accompagnez le mouvement en écartant très légèrement vos deux mains. Comptez cinq à six secondes, puis resserrez légèrement vos deux mains pour revenir à la position initiale. Le mouvement doit être fin et subtil pour garder le contact avec les tissus de l’animal.
Voici les étapes à suivre pour réaliser cette technique :
Si vous ne percevez pas ce rythme, créez-le en comptant cinq à six secondes pour la phase 1 ; suivez les mêmes consignes pour la phase 2. Poursuivez ce rythme durant cinq minutes, puis relâchez vos mains.
Vous pourrez ensuite les reposer pour évaluer un possible changement dans le rythme. Si ce n’est pas le cas, ne soyez pas surpris. La régulation n’est pas toujours immédiate : il faut parfois du temps au système pour se réguler. Néanmoins, vous aurez relancé le rythme normal.
Les nombreuses techniques de massage et de soin que vous avez apprises compléteront votre prise en charge. En relançant les capacités d’auto-guérison de l’animal, ces techniques aideront son corps à se soigner lui-même. Le contact avec l’animal est donc une notion très importante. Dans toutes les techniques que vous pratiquerez, vous devrez être concentré et vous focaliser sur l’effet escompté. Sans une intention, vous obtiendrez peu de résultats.
Les nombreuses techniques de massage et de soin que vous avez apprises compléteront votre prise en charge. En relançant les capacités d’auto-guérison de l’animal, ces techniques aideront son corps à se soigner lui-même. Le contact avec l’animal est donc une notion très importante. Dans toutes les techniques que vous pratiquerez, vous devrez être concentré et vous focaliser sur l’effet escompté. Sans une intention, vous obtiendrez peu de résultats.

Naturopathie-Animaliere Module 6 part 3

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